Fate Testarossa ~Administrateurs suprêmes~
Messages : 578 Date d'inscription : 14/07/2011 Age : 26 Localisation : Devant mon ordi ~
Feuille de personnage Arme(s): Une arme intelligente appelé Bardiche Pouvoir(s): Maîtrise de la magie Mid-Childa, magicienne de rang SS+ ou SSS++(x) en passage Hückebein Camp: Magicien(ne)s
| Sujet: Quand deux tordus se rencontrent~ [PV Dai pour le moment] Dim 30 Oct - 23:04 | |
| Du sang... De l'alcool... De la pisse... Quel endroit pitoyable!... Voici ce qu'il restait dans ces ruelles... Je marchais lentement, enjambant les corps ensanglantés et l'odeur active de décomposition me chatouillait les narines... J'aime cette anarchie~ J'aime ce sentiment~ Hum~ Que la présence des morts est agréable... J'allumais rapidement une cigarette et la fumais. Je me retournais alors vers la ruelle contenant mon "travail". Ce passage pavé d'à peine deux trois mètres de largeur où ne passaient pas plus de deux personnes côte à côte était désormais plein de cadavres... De simples yakuza dans l'ensemble, une dizaine, de petits délinquants sans importance... Pas bien âgés... Le plus vieux devait avoir vingt-cinq ans et le plus jeune à peine seize ans d'après mes capteurs... Le sol couvert de petits pavés de pierres multiformes étaient désormais tâchés d'un liquide rouge tournant au marron... Du sang... Du sang qui s'oxydaient. Une odeur restait persistante... Celle du mélange entre l'alcool toujours présent dans ce genre de lieux comme l'attestaient ces bouteilles de verres cassés au sol et l'urine, omniprésente. Concernant cette deuxième chose j'ignorais si c'était dû aux sans abris et autres clodos qui passaient régulièrement par ici pour ne pas dire qu'ils y vivaient ou si cela résultat provenait de cette bande de criminels de pacotille qui s'étaient pissés dessus alors que je les achevais. Ou juste le mélange des deux... Bref cette odeur était répugnante et masquait le doux parfum du sang. Que de gâchis! Mais revenons en arrière~ Vous devez vous demander ce qui avait bien pu se passer pour en arriver à cette scène alors voilà. Lundi, dix-huit heures trente, temps gris, mi pluvieux significatif de l'arrivée de ce mois de novembre. Je me promenais tranquillement dans les rues de la ville, enfin plutôt dans celles du quartier populaire et plutôt mal fréquenté de la ville, j'y trouve souvent des sources de loisirs assez... Amusantes! J'avais décidé de prendre le dessus sur cette niaise de Fate pour cette fois ci. Elle m'énervait à être de si bonne humeur... Sûrement parce que le brun ténébreux plutôt sexy là... C'est quoi son nom déjà?... Taka... Takayuki je crois! Voilà. Lui, donc Takayuki lui a avoué qu'il partageait ses sentiments... Bon j'avais peut-être plus de chance de me l'envoyer mais j'allais devoir supporter leur petit bonheur... Bwah quel horreur! Enfin bref j'avais besoin de sortir et de toue façon, mes pulsions revenaient comme toujours~ Je me trimbalais donc dans ces petites ruelles pleins de petits salopards en tout genre quand une bande de yakuzas m'avait sifflé dans une ruelle adjacente. Il faut dire que je n'avais pas changé mes habitudes vestimentaires, malgré ce mois d'octobre et ces quelques quatorze degrès, je m'habillais toujours aussi légèrement. Je portais un short noir, très court, et qui laissait ressortir très nettement mon fessier ainsi qu'un haut simple à bretelles de même couleur fortement décolleté, le tout sur de haut talons de quinze bon centimètres et en étant très maquillée de noir. Bref il fallait avouer que cette question ne m'étonna pas :
"Eh c'est combien la nuit à juste?!"
Pas la première fois qu'on me demande. Un grand sourire s'affiche sur mon visage tandis que je m'approche. J'ai trouvé ma cible~ Ou plutôt mes cibles~ Je saisis le menton de celui qui avait pris la parole, esquisse un sourire charmeur et réponds :
"Trop cher pour toi gamin~"
Passons les détails. Mais après ces quelques mots, j'avais dégainé mon arme et après un court combat, avais éliminé toutes ces petites merdes sans la moindre pitié malgré leurs prières de les épargner. Voici donc comment j'en étais arrivé là et que, tranquille, je restais adossé à ce mur, en fumant, impassible. |
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